Body shaming : chirurgie esthétique de Léa Mary
Après plusieurs tentatives pour améliorer l’apparence de ses fesses, la célèbre Léa Mary de la télé-réalité a décidé de subir une nouvelle chirurgie visant à réduire la taille de ses fesses. Suite à la publication des images avant/après de cette intervention, elle a fait face à une vague de critiques acerbes concernant son apparence sur les réseaux sociaux.
Au départ, Léa Mary avait choisi une liposuccion ventre pour transférer de la graisse de son abdomen vers ses fesses. Elle a ensuite opté pour une seconde intervention pour augmenter davantage leur volume. Cette fois-ci, son objectif était de diminuer le volume de ses fesses pour les rendre plus harmonieuses, selon ses dires. Longtemps complexée par son apparence et victime de railleries en ligne, Léa, soutenue par son compagnon Seby Daddy, a consulté plusieurs chirurgiens plastiques. Bon nombre d’entre eux ont refusé l’opération en raison des risques élevés. Finalement, le couple s’est tourné vers le docteur Mohamed Derder en août. Après une période de récupération, Léa a révélé le résultat de la chirurgie, déclenchant une nouvelle série de critiques.
Hier soir, en larmes dans une story Instagram, Léa a répondu aux attaques qu’elle a subies depuis la publication des photos de sa transformation. Elle a déclaré : “Vous ne pouvez pas imaginer combien j’ai souffert pour obtenir des fesses normales.” Malgré les moqueries, elle a reçu un soutien notable de l’influenceuse emmacakecup, qui a dénoncé les attaques sur Twitter à l’encontre de Léa, en disant : “Le body shaming contre Léa Mary est inacceptable. Envoyons de la bienveillance plutôt que de la haine.” D’autres personnalités, comme Vivian Grimigni et Eva Ducci, ont également exprimé leur soutien. Cette affaire a eu des répercussions non seulement pour Léa Mary mais aussi pour son chirurgien, dont le compte Instagram a été désactivé suite à de multiples signalements.
Léa Mary pourrait devoir faire face à de nouvelles critiques bientôt, car elle a mentionné la possibilité d’une quatrième intervention dans six mois pour remonter ses fesses, qu’elle trouve encore trop basses.
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